Né en juillet 1947, Claude Parent-Saura, ancien élève de Germain Bonel ne cesse
ses recherches et sa création en matière d’art depuis 34 ans (1980-2014).
Il débute la peinture en 1980 avec la série des musiciens, de la figuration
libre qu’il pratique environ cinq ans.
Puis il est vite attiré par l’abstraction avec la série des défigurations
et déformations en 1985 et celle des reliefs en 1988 (un rapport étroit entre
peinture et sculpture, il ajoute sur ses toiles des matières diverses, planches,
tissus,…).
Son travail est remarqué à cette époque par la galerie Massanet à Figuères,
il exposera avec Tapiès, Miro et Picasso entre autres.
Les années 90 seront marqués par l’utilisation du plexiglass, Claude Parent-Saura
transforme cette matière pour en faire dans un premier temps du mobilier et
des bijoux puis les « Volumobiles » viennent à lui, ce sont des volumes abstraits
en plexiglass dans lesquels il intègre des objets métalliques et matériaux divers.
Jordi Père Cerda disait de ses objets qu’il s’agissait de « petits théâtres
de vie ».
Dans les années 2000, une autre période apparaît clairement, son intérêt croissant
pour les civilisations précolombiennes inspirera sa création.
Claude Parent-Saura se dirige tout d’abord vers des réalisations écologique
de papiers sculptures à base de feuilles, puis un travail sur les déchets de
la mer avec les bois flottés et les verres dépolis, ainsi que les fragments
de poterie et de tissus qu’il recycle en totems, poupées, masques, céramiques
et toiles tatouées.
A plusieurs reprises il rend hommages aux indiens HOPI et aux MAYAS en créent
des œuvres contemporaines.
Pendant toutes ces années Claude Parent-Saura pratique « l’Analogisme » (théorie
de Philippe Descola, anthropologue français) sans le savoir.
Claude Parent-Saura commence sa collection personnelle par des sculptures
précolombiennes en 1970, puis les Kachinas (poupées sacrées en bois peintes,
réaliser à l’occasion de fêtes rituelles par les indiens HOPI, servant d’intermédiaire
avec les esprits) dans les années 2000 et il étant sa collection au tissus Chancay,
masques…
Fin des années 2000, travail de livrets érotiques en hommage à « Erotica »
d’Antonio Saura…
Aujourd’hui Claude Parent-Saura continu sa production d’œuvres contemporaines
inspiré des civilisations Hopi zuni et imprégné par le sacré et la spiritualité
que lui apportent sa collection.
, ancien élève de Germain Bonel ne cesse
ses recherches et sa création en matière d’art depuis 34 ans (1980-2014).
Il débute la peinture en 1980 avec la série des musiciens, de la figuration
libre qu’il pratique environ cinq ans.
Puis il est vite attiré par l’abstraction avec la série des défigurations
et déformations en 1985 et celle des reliefs en 1988 (un rapport étroit entre
peinture et sculpture, il ajoute sur ses toiles des matières diverses, planches,
tissus,…).
Son travail est remarqué à cette époque par la galerie Massanet à Figuères,
il exposera avec Tapiès, Miro et Picasso entre autres.
Les années 90 seront marqués par l’utilisation du plexiglass, Claude Parent-Saura
transforme cette matière pour en faire dans un premier temps du mobilier et
des bijoux puis les « Volumobiles » viennent à lui, ce sont des volumes abstraits
en plexiglass dans lesquels il intègre des objets métalliques et matériaux divers.
Jordi Père Cerda disait de ses objets qu’il s’agissait de « petits théâtres
de vie ».
Dans les années 2000, une autre période apparaît clairement, son intérêt croissant
pour les civilisations précolombiennes inspirera sa création.
Claude Parent-Saura se dirige tout d’abord vers des réalisations écologique
de papiers sculptures à base de feuilles, puis un travail sur les déchets de
la mer avec les bois flottés et les verres dépolis, ainsi que les fragments
de poterie et de tissus qu’il recycle en totems, poupées, masques, céramiques
et toiles tatouées.
A plusieurs reprises il rend hommages aux indiens HOPI et aux MAYAS en créent
des œuvres contemporaines.
Pendant toutes ces années Claude Parent-Saura pratique « l’Analogisme » (théorie
de Philippe Descola, anthropologue français) sans le savoir.
Claude Parent-Saura commence sa collection personnelle par des sculptures
précolombiennes en 1970, puis les Kachinas (poupées sacrées en bois peintes,
réaliser à l’occasion de fêtes rituelles par les indiens HOPI, servant d’intermédiaire
avec les esprits) dans les années 2000 et il étant sa collection au tissus Chancay,
masques…
Fin des années 2000, travail de livrets érotiques en hommage à « Erotica »
d’Antonio Saura…
Aujourd’hui Claude Parent-Saura continu sa production d’œuvres contemporaines
inspiré des civilisations Hopi zuni et imprégné par le sacré et la spiritualité
que lui apportent sa collection.